Belgais resiste à saída de Maria João Pires
Neste mediático caso de Belgais, o mais lamentável é este banco vazio...
...verdadeiro lugar "natural" de Maria João Pires.
Todos os outros lugares são "artificiais"
e, por isto mesmo, insatisfatórios.
Tudo visto.
De certeza,
que gosto
da Maria João Pires.
Sobre a outra,
a Maria João Pires Belgais,
não tenho qualquer certeza.
...aquilo que tinham obrigação de saber há muito.
O Ministério da Saúde elaborou um programa para prevenir as infecções hospitalares que contempla, entre outras medidas, acções de formação para ensinar os médicos a aprender a lavar correctamente as mãos..
Abençoado país este, cujas élites sociais se mantêm, teimosamente, abaixo do nível mínimo de profissionalismo.
Cheguei a pensar o seguinte:
Já que os médicos não lavam as mãos, espero, ao menos que os enfermeiros o façam.
Erro.
Nem os enfermeiros!
Expertos consultados por interviú sobre las circunstancias en que estaba Al Fayed explican que “en centenares de accidentes nunca ningún accidentado tenía esa zona del cuerpo el aire.
Será esta, a outra razão do incómodo da família real britânica?
O que é certo é que, embora sem ter feito uma busca exaustiva para encontrar a polémica foto, a verdade é que não a consegui encontrar nos motores de busca habituais.
Os sofisticados "mísseis" norte americanos vão longe e deslumbram.
Mas deixam destroços e falham duas tentativas.
Por isto, também assustam.
Os rudimentares mísseis norte coreanos
não vão a "lado nenhum",
mas atingem o alvo,
sem falhas:
assustar todo o mundo
e o mundo todo.
E ainda,
estragar
o "fourth July"
aos norte americanos.
Pobres norte americanos!
E pobres de nós todos!
Senhores de todas as tecnologias!
E escravos de todos os medos!
...duas vezes...
...três vezes...
...E veja se não fica com vontade de dizer:
O grande problema da humanidade não são os pequenos países.
São os pequenos homens dos grandes países.
FOOT Portugal: Scolari rêve du trophée pour un si petit pays GELSENKIRCHEN (AFP) - Le 02/07/2006 à 14h23 |
Luiz Felipe Scolari, le sélectionneur du Portugal, rêve de gagner le Mondial-2006 de football avec un petit pays de 10 millions d’habitants après avoir remporté le trophée 2002 à la tête du grand - démographiquement et footballistiquement - Brésil. "C’était important d’atteindre la finale (de l’Euro) en 2004 et maintenant la demi-finale (du Mondial), mais nous voulons aller plus haut", a affirmé après le succès contre les Anglais le charismatique Big Phil, si populaire dans un Portugal conquis par sa philosophie de la victoire. "Aujourd’hui, oui le Portugal peut être champion du monde, car nous sommes en demi-finales. Evidemment, ce sera très difficile, mais nous avançons pas à pas. Qui que ce soit en demies (la France, le 5 juillet à Munich), bienvenue, nous sommes prêts." Avec 10,5 millions d’habitants et 100.000 licenciés, le petit pays de la Péninsule ibérique rejoint pour la deuxième fois - après 1966 - le dernier carré mondial, en quatre participations (avec 1986 et 2002). "C’est plus difficile d’être en demi-finale avec le Portugal qu’en finale avec le Brésil, assure Scolari, parce qu’on ne dispose pas du même nombre de joueurs. Le Portugal, c’est seulement 10 millions d’habitants. 50% des joueurs du Championnat sont étrangers. Il y a moins de possibilités de choix".
"Et puis le Brésil a une tradition, poursuit-il, une histoire, c’est plus facile. Nous, nous devons créer cette histoire. L’Euro-2004 nous en a presque donné l’occasion. On a une nouvelle opportunité ici. C’est une nouvelle équipe du Portugal, avec un nouvel esprit, un esprit de guerrier." Scolari estime que son équipe a su se forger un "esprit de guerrier", samedi à Gelsenkirchen, qui pourrait lui servir contre la France. Derrière Scolari, toute l’équipe du Portugal y croit. "Nous avons un rêve, admet Hugo Viana, mais nous devons garder les pieds sur terre parce que nous n’avons encore rien gagné. Nous aurons un match coriace mercredi". "Je suis extrêmement confiant", assure Cristiano Ronaldo, le jeune (21 ans) prodige portugais, qui a transformé le tir au but décisif samedi. "Nous avons quatre jours à partir de maintenant pour récupérer et je pense que tout le monde sera prêt", poursuit-il, pensant probablement à Luis Figo, touché, qui espère néanmoins être rétabli pour jouer la demi-finale. "Pouvons-nous gagner la Coupe du monde? demande-t-il. Tout est possible dans le football..." |